Elles sonnaient aux portes pour quémander de l’argent : portées disparues, deux fillettes de 9 ans voulaient jouer les survivalistes avec leurs doudous

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Lundi 21 juillet 2025, deux fillettes de 9 ans ont quitté Estrablin, en Isère, sans autre bagage que leur doudou. Leurs parents ont alerté les gendarmes à 19 h 45, craignant le pire et créant un étonnement général lorsque les fillettes ont expliqué vouloir partir comme des survivalistes. Cette fugue insolite a mobilisé 14 gendarmes et une équipe cynophile, entraînant rapidement toute la communauté dans une inquiétude partagée.

Leur escapade audacieuse façon survivalistes de 9 ans

Selon le site midilibre.fr, lundi 21 juillet 2025, deux amies âgées de 9 ans ont discrètement et silencieusement quitté leurs domiciles à Estrablin, emportant seulement leur doudou fétiche. Leurs pas hésitants ont rapidement éveillé l’inquiétude parentale. Seuls leurs rires étouffés trahissaient l’ampleur de leur projet de survivalistes.

Les gendarmes de Vienne ont immédiatement réuni pas moins de 14 militaires, chacun prêt à fouiller ruelles et sentiers. En soutien, une équipe cynophile a flairé chaque indice possible, du moindre bruit jusqu’à la moindre empreinte. L’opération s’est intensifiée à la tombée de la nuit.

Peu après, la nouvelle s’est répandue sur les réseaux sociaux locaux, suscitant un élan de solidarité. Habitants d’Estrablin et villages voisins ont partagé l’alerte, guettant le moindre signe. L’esprit de communauté est vite devenu le principal atout des recherches.

La traque digne de survivalistes orchestrée par la compagnie de Vienne

Dès 19 h 45, l’alerte a retenti : les parents, angoissés, ont appelé la gendarmerie. En moins de dix minutes, la compagnie de Vienne a déployé ses effectifs. Chaque recoin du secteur a fait l’objet d’une inspection minutieuse, sans laisser de place à l’imprévu.

Au pied des collines et le long des chemins forestiers, l’équipe cynophile a pris l’initiative. Les chiens de recherche ont progressé méthodiquement, scrutant chaque parcelle d’herbe. Aucune piste n’a échappé à leur flair averti.

Vers 21 h 30, une alerte est tombée depuis la commune voisine de Septème, à 6,8 km de là. Deux silhouettes familières s’approchaient des maisons, quémandant quelques pièces. Cette découverte a confirmé l’ampleur de la fugue et souligné la débrouillardise des survivalistes.

Les confidences inventives des deux fillettes dans la nuit

Conduites au poste, les deux fillettes ont d’abord relaté un scénario alarmant : enlèvements et ligotages. Leurs yeux pétillants trahissaient pourtant un grand sens du récit. Les enquêteurs ont noté l’absence de traces physiques, renforçant leurs doutes.

Retrouvées effectuant du porte-à-porte à Septème, elles quémandaient de l’argent auprès des voisins. Parcourir 6,8 km à pied révélait une détermination surprenante. Les habitants, d’abord interloqués, ont aussitôt prévenu les gendarmes.

Après quelques instants, les fillettes ont avoué la vérité : elles voulaient tester leurs compétences de survivalistes en improvisant cette fugue nocturne. Le soulagement des parents s’est mêlé à l’étonnement face à leur imagination fertile. Les gendarmes, soulagés, ont réitéré l’importance de la communication familiale en cas de projet insolite.

Un précieux rappel pour la vie en communauté demain

Cet épisode souligne la force de l’imaginaire enfantin et la réactivité exemplaire des forces de l’ordre. Malgré la frayeur initiale, l’union des habitants d’Estrablin et de Septème a permis une issue sereine. À travers cette fugue, chacun perçoit l’importance d’un dialogue ouvert et d’une vigilance partagée dans la vie quotidienne.

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